Avez-vous à l’esprit ces cadrages naturalistes évocateurs tournés dans la savane, avec le guépard qui, comme s’il s’agissait d’un simple faisceau de muscles, se lance à la poursuite d’une proie dans une danse d’agression et de compétition?
C’était ce que nous avions pensé dimanche en regardant notre Aleix rester sur les talons avant de Rossi et puis de Morbidelli sur la piste du Sachsenring.